François Amoretti a vécu sa jeunesse dans le délire artistique qu’est la France, un pays connu pour sa
culture et son histoire vibrantes. Guidé par cet amour profond et confirmé pour les récits menteurs et fabuleux,
c’est un amour profond qui a été le fondement de son identité culturelle et qui a façonné tout son voyage imaginatif et son point de vue unique.
L’enfance d’Amoretti
Enfant, Amoretti avait une grande affinité naturelle pour l’art et dessinait de nombreux dessins de l’atelier
d’illustrateurs célèbres de l’époque tels qu’Arthur Rackham et Edmund Dulac. Ces maîtres de l’illustration,
réputés pour leurs détails infinis et la facilité avec laquelle ils décrivent des mondes magiques, ont exercé
une influence sur le jeune artiste. Ils ont fasciné Amoretti, en particulier, pour leur talent naturel à mélanger
le piquant et la magie sans sacrifier la beauté à la magie ou à l’arrière-plan, au service de la construction de
récits visuels qui transportent les observateurs dans les royaumes de l’émerveillement et de l’enchantement.
Les tendances observées se reflètent de manière tangible dans le développement culturel d’Amoretti.
Son style est délicat et très détaillé, comme celui des illustrations de Rackham et de Dulac ; une profonde
appréciation du travail minutieux qui ne pardonne pas et du sens éternel de la finesse qui ne peut être
recréé que de manière impeccable. Progressivement, il s’est mis à la hauteur de ses capacités en mêlant
les techniques traditionnelles à ses compétences particulières et a commencé à peindre avec une touche
ultramoderne, en présentant la richesse profonde de l’art européen.
Le charme de l’œuvre d’Amoretti
Mais l’admiration d’Amoretti pour ces influences précoces, combinée à l’influence artistique absorbante de la France, contribue également à expliquer la jeunesse qu’il a passée dans ce pays. Comme presque tous ceux qui ont grandi dans les plaines, sa passion a été nourrie par les géographies graphiques, l’armature majeure et l’effervescence artistique du pays. Toute l’œuvre d’Amoretti porte en elle un sentiment d’enracinement, un engagement passionné pour la beauté pastorale ou grandiose de sa patrie, qu’il s’agisse du charme rustique des bourgs médiévaux ou de la splendeur gothique des édifices.